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Célou deus bro ar Gabiled
(trop ancien pour répondre)
Houcine
2010-12-27 22:20:34 UTC
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Nosvad deoh. Lacet em eus ous ma blog eun articl nevé diwar eur
general major ac a so er benn bro algeia. Ar general se "Tewfik" a so
ganet e bro ar gabiled e 1939 ac en deus ar gwir galloud er vro se. Ma
hoant lenn an articl se clicit ous al liamm a heuill :

http://celeierbreizacarbed.blogspot.com/2010/12/celou-eus-bro-algerya.html
Houcine
2010-12-28 08:45:03 UTC
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Post by Houcine
Nosvad deoh. Lacet em eus ous ma blog eun articl nevé diwar eur
general major ac a so er benn bro algeia. Ar general se "Tewfik" a so
ganet e bro ar gabiled e 1939 ac en deus ar gwir galloud er vro se. Ma
http://celeierbreizacarbed.blogspot.com/2010/12/celou-eus-bro-algerya...
Cals bretoned n'o deus cet menos deus ar pes a choarves e bro Algerya.
Peurliesan an amzair an traou a so cinniget evel ma vije eur brezel
etre an arabed ac ar Gabiled?! Se n'eo cet gwir tamm ebet. Siwaz abaoe
ma e oa crouest ar "bzh" pellaat a reont ar vrezonegerion deus ar gwir
bed evid en em guza er bed digwir ar mered gan tud disciant.
Meur a wech clevet em eus ar brezel ahont e bro Algerya a so etre an
islamised ac al laiced. Pep hini a oar bro Algerya a so pinvidic meur
gan an eol mein, war dro eur million barrel a so produet deus an douar
ahont e cichen ar gaz ac all. 98% eus ar madou gwerzet er maes ar vro
a so graet gand traou disrannet eus eol maen ac ar gas. Siwaz abaoe 50
bloas n'eus nemed paourebtes , freuls ha diasamenchou gand ar stad
ahont. Ar Gabiled a so er pen ar stad er vro algeria , evel calz
bretoned a oar. Ar school brezel vraz eus ar vro se a so léchiet er
vro ar gabiled é ano a so "Academies interarmou eus Cherchell". Ar
gabiled o doa graet ar brezel gwechall enep bro C'hall rac o vro a so
e cichen cerben bro algeria : Alger a so léchiet 70 km eus cerben bro
ar gabiled "Tizi-Ouzou". Ar ministr centa hirio an deiz é ano a so
"Ahmed Ouyahya" red eo gouzout hen a so deus bro ar gabiled. Spontus
oun bed da wellan penaos tud ar "bzh" a ra eur racisme etre an
algerianed da lacat sonj ar gabiled a so gwascet gand an arabed. Se
n'eo cet gwir, ma vije an traou cement aes ne vije cet cement brezel
ahont. Red eo gouzout niver ar maru ahont abaoe 1991 a so muioh eged
trihent mill ac e Boumerdes ez eus calz strafuill. Boumerdes a so eur
ger deus ar gabiled ivé. Pemp cer braz o deus ar Gabiled e bro
Algerya : Tizi-Ouzou, Boumerdes, Bijaya, Rouiba, ac Setif ha Djijel a
so hanter_hanter etre an arabed ac ar gabiled. Siwaz ar "bzhirion" n'o
deus cet lahet theod ar vretoned nemet cen med choant o deus
treusgemma ar wirionez.
Houcine
2010-12-28 08:57:11 UTC
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Setu eun articl eus hirio an 28/2/2010 deus cazeten laiced Kabyle "Le
soir d'alegerie". Coms a ra diwarben stourm tudpaourien o chom e
tiegou houarn ac a houlen evid beza roet dezo ranndiou gweloh:

"MÉCONTENTEMENT SOCIAL
Des émeutes pour boucler l’année
La protestation sociale semble durablement réglée sur le mode émeute.
Partout, dans les bourgades les plus reculées du pays comme au cœur de
la capitale, les mécontentements sont exprimés de manière violente.
Sofiane Aït-Iflis - Alger (Le Soir)- Dresser la barricade sur fond de
pneus brûlés est en passe de structurer un comportement social. Tout
est prétexte à soulèvement populaire, du ralentisseur que les
autorités tardent à ériger jusqu’à l’opération de relogement jugée mal
pensée en passant par le démantèlement, comme il arrive, de marchés
informels. Samedi et dimanche, l’émeute a éclaté du côté de Oued-
Ouchayah, dans le sillage de la grande opération de relogement
annoncée à coups de renforts publicitaires par les autorités. Les
habitants de la cité les Palmiers, dans la banlieue Est- algéroise, se
sont en effet soulevés deux jours durant pour réclamer leur
intégration dans cette opération de recasement. Les forces anti-
émeutes ont fait pleuvoir les bombes lacrymogènes. Et, au terme de ces
deux jours d’affrontements violents entre forces de l’ordre et
émeutiers, une délégation mandatée par les habitants de la cité est
reçue par le wali délégué d’El-Harrach. Après d’âpres négociations, la
délégation lui arrache une vague promesse d’une intégration dans une
future opération de relogement. C’est quasiment toujours de la sorte
que le dialogue entre citoyens et autorités est noué, c’est-à-dire
après émeute. Lorsque vous interrogez les citoyens sur le recours
systématique au soulèvement, vous vous entendez souvent rétorquer que
c’est le seul moyen de se faire entendre. Terrible constat de ce que
les citoyens ne croient plus aux possibilités de dialogue social sans
user de l’émeute en guise de préliminaire. Et s’ils sont arrivés à ne
plus concevoir de règlement de leurs problèmes sans passer par la
barricade, c’est qu’ils ont dû certainement été souvent confrontés à
des attitudes bureaucratiques tout autant hautaines qu’inaccessibles.
Les oreilles au niveau des administrations sont rarement attentives
aux doléances des citoyens. Aussi, face à l’obstruction des canaux de
communication entre administrateurs et administrés, entre gouverneurs
et gouvernés, le citoyen se trouve amené à percevoir l’émeute comme le
seul moyen de se faire entendre et écouter. D’ailleurs, il en use
jusqu’à l’abus. Comme à Boudouaou, la veille de l’Aïd el-Kebir
lorsque, mécontents suite à un jugement rendu contre des jeunes
impliqués dans une émeute précédente, des citoyens ont barricadé
l’autoroute, causant les pires désagréments aux usagers. Mais cette
récurrence dans la provocation de l’émeute dénote, outre d’un malaise
social profond et étendu, d’un échec de la gouvernance. Les politiques
sociale et économique du gouvernement ont raté de produire le bien-
être citoyen, en dépit des budgets colossaux alloués.
S. A. I. "
Houcine
2010-12-28 08:58:20 UTC
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Setu al liamm:

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2010/12/28/article.php?sid=110625&cid=2
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