Oisin
2011-07-22 13:14:56 UTC
Paris an 22/07/2011.
Diwallit mad deus ar c'hoari a ra ar "BZHirion" hac en o penn ar re
eus Roazon Diou" .
Barn muntrerion Matoub LOUNES a oa digaret ar sizun diweza. Daou
lakepod bennac a zo tamalled. An daou baotr a so tamallet gand ar
barned da veza lahet Matoub LOUNES, coulscoude Malika MATOUB, c'hoar
Matoub LOUNES, a zamall cannad an "RCD" Nordine Ait-Hamouda da veza a
zren maru he vreur, evel just n'eo ket tud ar "BZH" a roio scoazell pe
a bedont anezi ewid hi sicour.
TIZI-OUZOU, Le lundi 18/07/2011
Début ce matin du procès de l’assassinat de Matoub Lounès
Treize ans après le lâche assassinat du chanteur engagé et militant de
la démocratie, Matoub Lounès, le procès de Malik Medjenoun et
Abdelhakim Chenoui, accusés d’être les auteurs de l’attentat du 25
juin 1998 sur la route de Ath Douala (Tizi-Ouzou), s’ouvre,
aujourd’hui, lundi, au tribunal criminel de Tizi-Ouzou.
Incarcérés à la maison d’arrêt de Tizi-Ouzou depuis une douzaine
d’années, Malik Medjenoun et Abdelhakim Chenoui comparaîtront,
aujourd’hui, pour appartenance à groupes armés et complicité de
meurtre. L’arrêt de renvoi datant de 2008 fait état d’une liste d’une
dizaine de terroristes comme étant mandatés par le GSPC et directement
impliqués dans l’affaire de l’assassinat de Matoub Lounès. Selon
toujours cet arrêt de renvoi, deux mis en cause, Chenoui, âgé de 33
ans au moment des faits, et Medjenoun, âgé de 24 ans à cette époque,
aujourd’hui incarcérés et inculpés dans le cadre de cette affaire,
comparaîtront au procès qui s’ouvre aujourd’hui au tribunal criminel
de Tizi- Ouzou. Par ailleurs, le rapport des enquêteurs fait état de
six terroristes éliminés et de deux autres éliminés par les services
de sécurité dans le cadre de la lutte antiterroriste. La chambre
d’accusation, se basant sur les aveux de Ramdane Toukoudji, un
terroriste qui s’est rendu aux services de sécurité, a privilégié la
piste de l’assassinat terroriste, et ce, malgré les récusations des
proches de la victime qui refusent cette thèse et rejettent toujours
les résultats de l’enquête. Pour rappel, tous les autres mis en cause,
des terroristes en fuite, ont été éliminés par les forces de sécurité.
Le dernier en date, est Nacer Madhmoun, abattu en 2009 sur les
hauteurs de Boukhalfa, à quelques kilomètres de la ville de Tizi-
Ouzou. Précisons, enfin, que le procès qui s’ouvre aujourd’hui a été
initialement prévu pour le 9 juillet 2008. La justice, qui a demandé
un complément d’enquête suite à une requête de la famille Matoub, a
finalement décidé sa tenue à partir d’aujourd’hui.
K. Bougdal
Diwallit mad deus ar c'hoari a ra ar "BZHirion" hac en o penn ar re
eus Roazon Diou" .
Barn muntrerion Matoub LOUNES a oa digaret ar sizun diweza. Daou
lakepod bennac a zo tamalled. An daou baotr a so tamallet gand ar
barned da veza lahet Matoub LOUNES, coulscoude Malika MATOUB, c'hoar
Matoub LOUNES, a zamall cannad an "RCD" Nordine Ait-Hamouda da veza a
zren maru he vreur, evel just n'eo ket tud ar "BZH" a roio scoazell pe
a bedont anezi ewid hi sicour.
TIZI-OUZOU, Le lundi 18/07/2011
Début ce matin du procès de l’assassinat de Matoub Lounès
Treize ans après le lâche assassinat du chanteur engagé et militant de
la démocratie, Matoub Lounès, le procès de Malik Medjenoun et
Abdelhakim Chenoui, accusés d’être les auteurs de l’attentat du 25
juin 1998 sur la route de Ath Douala (Tizi-Ouzou), s’ouvre,
aujourd’hui, lundi, au tribunal criminel de Tizi-Ouzou.
Incarcérés à la maison d’arrêt de Tizi-Ouzou depuis une douzaine
d’années, Malik Medjenoun et Abdelhakim Chenoui comparaîtront,
aujourd’hui, pour appartenance à groupes armés et complicité de
meurtre. L’arrêt de renvoi datant de 2008 fait état d’une liste d’une
dizaine de terroristes comme étant mandatés par le GSPC et directement
impliqués dans l’affaire de l’assassinat de Matoub Lounès. Selon
toujours cet arrêt de renvoi, deux mis en cause, Chenoui, âgé de 33
ans au moment des faits, et Medjenoun, âgé de 24 ans à cette époque,
aujourd’hui incarcérés et inculpés dans le cadre de cette affaire,
comparaîtront au procès qui s’ouvre aujourd’hui au tribunal criminel
de Tizi- Ouzou. Par ailleurs, le rapport des enquêteurs fait état de
six terroristes éliminés et de deux autres éliminés par les services
de sécurité dans le cadre de la lutte antiterroriste. La chambre
d’accusation, se basant sur les aveux de Ramdane Toukoudji, un
terroriste qui s’est rendu aux services de sécurité, a privilégié la
piste de l’assassinat terroriste, et ce, malgré les récusations des
proches de la victime qui refusent cette thèse et rejettent toujours
les résultats de l’enquête. Pour rappel, tous les autres mis en cause,
des terroristes en fuite, ont été éliminés par les forces de sécurité.
Le dernier en date, est Nacer Madhmoun, abattu en 2009 sur les
hauteurs de Boukhalfa, à quelques kilomètres de la ville de Tizi-
Ouzou. Précisons, enfin, que le procès qui s’ouvre aujourd’hui a été
initialement prévu pour le 9 juillet 2008. La justice, qui a demandé
un complément d’enquête suite à une requête de la famille Matoub, a
finalement décidé sa tenue à partir d’aujourd’hui.
K. Bougdal