Discussion:
Eur wech all
(trop ancien pour répondre)
Houcine
2011-04-16 09:41:59 UTC
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Paris an 16/04/2011,
Scrivet gand Houssine al-Najaar.

Demad deoh caris brezonegerion. Aman a hellit lenn eun articl em eus
tennet eus cazetenn Kabylofone " Le Soir d'Algerie" , an articl se a
goms diwar ar pez a so nevé c'hoarvezet e Costès-Ivour an devezio
diweza.
Scrivarour an articl a so é ano "Ahmed Cheniki" ha c'hui a hell sell
pegen uhel eo é zoaré da scriva e gallec med ive da brederia e gallec.

Setu al liamm evid articl "Ahmed Cheniki" " Cote d'Ivoire: Tragédie
Africaine".

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2011/04/16/article.php?sid=115810&cid=41

An nep, ma carit, en eus c'hoant da lenn eun dra bennac e gallec n'en
eus ked cudenn ebed , e saoznec pe e peseurt theod pep den a gav ar
pez a glasc diwar peseurt sujed.

Ar hazetenn "Le Soir d'Algerie" he deus spered strollad anvet dindan
ano ar "BZH".
An holl tud se a so savet ha maget gand spered schoolio bro all. Leun
int gand spered ar "Jacobined" evid tud ar "bzh" pe "lesoir d'algerie"
ar pal eo scriva ha sonja dre theod ar "Sclerijenno" roet gand ar
revolution bro Hall ewid digabestr ar boblo gwasket.
Setu penaos a gavom ar Habilled eus "Le Soir d'Algerie" o tremen o
amzer da stourm dre o scrido e gallec ewid sevenadur an " Amazighion"
ha n'eo ket ar " Verbered" evel strollad ar "bzh" a lar . Chui a hell
sell ouz "Wikipedia" hac a gavit ar "Verbered" a dal ar re gouez.

Perac Kabiled " Le Soir d'Algerie" hac ar "Bzhirion" o tremen o amzer
da zifenn theodo ha sevenaduro bihan dre ar gallec gand spered ar
Jacobined ?
Houcine
2011-04-16 09:55:23 UTC
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Ma carit mond peloh e hellit dizoloi liamm ar wiaden rhannad "RCD" e
ano gallec a so "Rassemblement pour la Culture et la Democratie". O
spered a so memes spered ar "BZH" int oh ober trouz spountus ewid
hervez ar pez a laront "difenn sevenadur an amazighion hac ebarz liamm
an "RCD" ne wellit nemed an titl a so scrivet gand lizeriou amezheris
hogen an holl articlo a so scrivet e gallec. Rener an "RCD" a so ar
habilled an Docteur " Said Saidi" .

Boud so tud a lar a drenv an "RCD" a so ar General Kabyl " Taoufik
Medien" rener an " DRS" da lavared eo rener an titouro hollec e bro
Algeria. Hennez a oar piou en eus dibennet ar venechion Wenn hac a oa
dibennet er vro ar Gabiled e Thibeirin.
En em houlennet a ran meur a wech ma ne vije ket liammo striz etre an
dud se ha strollad "bzh" eus "Roazoun Diou" ?

Setu liamm ewid dizoloi ar gallegerion ampart ar "RCD":

http://www.rcd-algerie.org/rcd.php?id_galerie=5

Evel just chui a hell gouzoud muioh piou eo ar General Medien dre
"Wikipedia" hac e wellit mad pegen eo divent gallout ar general habill
se.
Houcine
2011-04-16 09:59:39 UTC
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Setu lec'hienn "Wikipedia" diwar kear genidigez ar General Kavbyl
Mediene: "Genzet":

Guenzet
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Guenzet


Administration
Pays Algérie
Wilaya Sétif
Culture et démographie
Population hab.
Géographie
Coordonnées
Superficie km2

Guenzet (en kabyle: Genzet) est le chef-lieu de daira et de commune
qui regroupe aussi la commune de Harbil, au sud-est de la Kabylie,
rattachée administrativement à la Wilaya de Sétif.

Sommaire [masquer]
1 Population et Localisation
2 Géographie
3 Histoire
4 Politique
5 Economie
6 Culture
7 Références
8 Bibliographie


Population et Localisation[modifier]Sa population est estimée à
environ 8000 habitants sur une superficie de 147 km2.Elle est située
au nord ouest de Sétif (Algérie) dans la chaîne des Babors et entourée
des communes de Harbil, Ain legradj et des communes de la wilaya de
Bordj Bou Arreridj (BBA).

La région est d'expression Kabyle.

Géographie[modifier]Sur les 38 villages qui composent la daira de
Guenzet, certains sont traversés par la route nationale, en
particulier: Tizi Medjbar Timenkache, Taourirt Yacoub, Guenzet;
d'autres sont desservis par des chemins parfois bitumés entre autres:
Ighil lekhmiss, Taourirt thamelalt, Chréa, Foumlal, Aourir Ouelmi,
Ighil Hammouche, Ighoudane, Tamest, Aghda n'Salah, Ith Karri,
Imesbahen, Thigherth, Sidi l'Djoudi, Issoumar, sans oublier le village
de ighdem,qui a été complètement détruit par l'armée coloniale en
1959, expulse l'ensemble des habitants...

Histoire[modifier]La région fait partie de la confédération des Ith
Yâala (en kabyle: Ath yeɛla) du nom du fondateur qui a occupé cette
région avec les siens, fuyant sa Kalâa du fait de l’insécurité vers
1061[réf. nécessaire]. A l’instar de plusieurs régions d’Algérie, elle
est considérée comme l’un des bastions des révoltes. Elle a été une
place forte du mouvement national en s’engageant, au début de la
révolution du 1er novembre 1954, dans la lutte armée. On cite trois
batailles significatives : celles de Sidi m’Hand Ouyahia en 1955, de
Adrar n’Thilla (ou opération Dufour) en 1956 et celle du « grand
ratissage » en 1958. En 1959, le village de ighdem composé d'un hameau
35 maisons, complètement détruit par l'armée française et l'ensemble
des habitants sont expulsés, vers le chef lieu de la daïra de guenzet.
Cet événement est emblématique des crimes commis dans cette région par
les français. Cette région montagneuse fut le creuset du djihad et du
militantisme. Dans cette région d’où émergèrent de nombreux “oulémas”,
forgés sans doute au cœur de cette école “Oukari” édifiée il y a déjà
quatre siècles par Cheikh Akli Okari, les Beni Yala furent alors et
aussi ce berceau de l’islamité que consolidèrent Cheikh Abdelhamid
Benbadis, mais aussi de Cheikh El-Fodhil El-Ourtilani, Cheikh El-
Hachemi Belmouloud ou Cheikh Saïd Salhi pour ne citer que ceux-là,
sans oublier Sidi El-Djoudi. Guenzet Ath Yala, c’est aussi l’exemple
vivant d’une contribution sans faille au mouvement national, depuis
Arezki Kehal au Cheikh Youssef Yalaoui et tous ces martyrs qui se
sacrifièrent alors pour Dieu et la patrie, leurs noms sont encore
gravés dans les mémoires de tous ceux-là, frères de combat qui ont
rejoint les maquis de l’Algérie, pour contribuer à la glorieuse
Révolution de Novembre. Malika Gaïd, fille de Timengacht, tombée au
champ d’honneur à la fleur de ses 20 ans, Hafri Rabah, Zouaoui Lahcen,
comme d’autres grandes figures des Beni Yala, à l’instar de Mohamed
Bouguerra, Debbih Chérif, Isaâd Abdelkader, Makhlouf Zenati, Maâchi
Abdelmadjid, Ouahil Nadjia et Bakhouche Rabah resteront à jamais les
illustres témoins de cette région dont le patrimoine culturel n’a
d’égal que tous ces secrets cachés, puisés dans le nationalisme et
l’authenticité.

Politique[modifier]Guenzet est une commune assez acquise a la droite
nationaliste kabyle.

Le maire actuel de la commune, le DR. Muḥand Benɛadduda, est sans
étiquette (apparenté divers droite). Il n'y a pas de majorité au
conseil municipal, la première liste est celle des indépendants. le
FFS, le front des forces socialistes (gauche, social-démocrate).

Economie[modifier]Bien qu'ayant été autrefois prospère, grâce a
l'agriculture et l'élevage, la région est aujourd'hui l'une des plus
pauvres de Kabylie. Le relief accidenté et la rudesse du climat (étés
torrides, hivers rigoureux), ont en effet freiné le développement
depuis la fin des années 1960.

Les principales activités sont l’arboriculture de montagne (olivier,
figuier, chêne vert), le petit commerce de détail, Guenzet étant un
point de rencontre entre la Kabylie et le monde arabe, beaucoup
d'arabophones des régions limitrophes viennent s'y apprivoiser,
notamment en matériel mécanique léger, ainsi que le tourisme,
principalement soutenu par la diaspora originaire de la région. Le
niveau de vie s'est un peu amélioré ces dernières années.

La région a expressément besoin de projets spécifiques, adaptés aux
conditions géographiques et socio-économiques. Une aide spéciale de
l’État est vivement souhaitée; car longtemps négligée.

Culture[modifier]Guenzet est l'agglomération kabyle la plus au sud de
la Kabylie orientale, à la frontière avec les régions arabophones.
C'est de ce fait un point de rencontre, aussi bien commerciale que
humain, avec les population arabophones de Sétif. Le Lycée de Guenzet
accueille d'ailleurs nombre d'élèves arabophones.

Les guenzetiens parlent un dialecte particulier de la langue kabyle,
celui de la Kabylie maritime.

Références[modifier] Bibliographie[modifier]Gaïd Mouloud: «Les Béni
Yala» (Office des publications universitaires OPU-01/90. 180 pages)
LAHMAR Rachid: «La monographie des Béni Yala» (ANEP/Rouiba-Alger,2004;
189 pages.Voir en particulier les pages de 148 à 189)
Portail de l’Algérie Portail de la Kabylie
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Catégories : Kabylie | Commune de la wilaya de Sétif | [+]
Houcine
2011-04-16 10:02:56 UTC
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Setu eun tamic comzou diwar benn ar General se Medien an holl
galloudus e bro Algeria ha chui a wellit pegen spountus gevier ar
"Bzhirion" diwar benn ar gouzanv enep ar gabilled eus an arabec , n'eo
ket gwir tamm ebet an holl Algerianed a so e memes sac'h:

Mohamed Mediène
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Le Général Mohamed lamine Mediène, aussi appelé « Toufik » est à la
tête du département du Renseignement et de la Sécurité, le service de
renseignements algérien depuis novembre 1990. Il est né en 1939 dans
la région de Guenzet de la Wilaya de Sétif, mais passe toute son
enfance dans le quartier de Saint Eugène à Alger. Après l'indépendance
en 1962, il étudie à l'école du KGB. Il fait partie de ce qu'on
appelle la promotion "tapis rouge".

Après son retour de formation en URSS, il est nommé chef d'antenne de
la Sécurité militaire de la 2ème Région militaire, alors sous le
commandement de Chadli Bendjedid. Au début des années 80 il est
attaché militaire auprès de l'ambassade d'Algérie en Libye. En 1986,
il devient le chef du département Défense et Sécurité de la présidence
puis en 1989 chef de la Sécurité de l'Armée alors que les services de
renseignements sont sous la direction du général Betchine. En 1990 il
prend la tête du Département du Renseignement et de la Sécurité,
nouvelle dénomination des services spéciaux, avec le grade de général.
En 1993, il est promu général major puis, en juillet 2006, général de
corps d'armée.

Il est considéré comme un personnage très influent au sein de l'armée.

Il est notamment accusé d'avoir manipulé voire crée les groupes
islamistes armés qui ont fait pas moins de 200 000 morts pendant les
années 1990; cela dans le but de semer la terreur au sein du peuple
mais surtout pour obtenir le soutien de l'Occident.

Source[m

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